De retour au clavier grâce au dieu internet je mesure un peu plus aujourd'hui la dépendance à la connexion, aussi loin on se délecte de Facebook, les vies de nos "amis" qui se racontent sont un petit bout de ce qu on a perdu et auquel on se raccroche quand le moral flanche.
Dimanche soir, il 20h et demain c est la rentrée, pas d appréhension, non vraiment, c est juste que je traverse un petit coup de moins bien, un trou d air comme cela arrive parfois en avion. L ' avion justement, grosse déprime quand en pleine nuit, épuisé sans possibilité de trouver morphée on regarde la carte du trajet pour ce rendre compte qu on traverse les EU , cette fois plus d échappatoire, inutile de dire "pouce,...Hé !C était pour rigoler!", on ne revient pas en arrière, en tout cas pas avant 2 ans, alors la gorge se noue et la carlingue soudain nous opresse, la solitude nous enveloppe, piégé, on se sent piégé, mais il faut aller de l avant ......, pas si facile. ...Et maintenant ? ....pas facile, demain? ....on verra bien.
Il faut que je m appui sur Anakin, il semble si facile, heureux, il prend ce qu on lui donne , quel bonheur de le voir de sauter dans les vagues, il croque à pleines dents la Polynésie mon petit bonhomme.
Malgré tout Tahiti est une île pleine de promesses, des paysages à couper le souffle , des gens si accueillant qu on en suspect quelque chose, une eau si douce qu elle apaise aussitôt les bleus de l âme , c est juste que je n'imaginais pas cette transition aussi difficile, la faute à mes amis, les salauds ! Ils m ont tellement entouré, aimé avant de partir qu ils m ont rendu dependant de leur présence, cette présence qui me manque tant ce soir...et s il n y avait qu eux mais je me sens coupé en deux , ma reine et ma petite princesse sont si loin , à l autre bout de la terre, ...en manque de câlins ce soir....
Je vous aime
Ivan
Dimanche soir, il 20h et demain c est la rentrée, pas d appréhension, non vraiment, c est juste que je traverse un petit coup de moins bien, un trou d air comme cela arrive parfois en avion. L ' avion justement, grosse déprime quand en pleine nuit, épuisé sans possibilité de trouver morphée on regarde la carte du trajet pour ce rendre compte qu on traverse les EU , cette fois plus d échappatoire, inutile de dire "pouce,...Hé !C était pour rigoler!", on ne revient pas en arrière, en tout cas pas avant 2 ans, alors la gorge se noue et la carlingue soudain nous opresse, la solitude nous enveloppe, piégé, on se sent piégé, mais il faut aller de l avant ......, pas si facile. ...Et maintenant ? ....pas facile, demain? ....on verra bien.
Il faut que je m appui sur Anakin, il semble si facile, heureux, il prend ce qu on lui donne , quel bonheur de le voir de sauter dans les vagues, il croque à pleines dents la Polynésie mon petit bonhomme.
Malgré tout Tahiti est une île pleine de promesses, des paysages à couper le souffle , des gens si accueillant qu on en suspect quelque chose, une eau si douce qu elle apaise aussitôt les bleus de l âme , c est juste que je n'imaginais pas cette transition aussi difficile, la faute à mes amis, les salauds ! Ils m ont tellement entouré, aimé avant de partir qu ils m ont rendu dependant de leur présence, cette présence qui me manque tant ce soir...et s il n y avait qu eux mais je me sens coupé en deux , ma reine et ma petite princesse sont si loin , à l autre bout de la terre, ...en manque de câlins ce soir....
Je vous aime
Ivan
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